Après un long périple...

Les pas du cheval souris résonne sur le sol sec du chemin.
Il marche lentement, les flanc couvert d'écume, transpirant de partout...
Le cavalier sur son dos jettait quelque regard inquiet autour de lui, de peur qu'on le suive...
N'ayant plus rien à craindre, il s'engagea dans ce long tunel naturel, creusé par la rivière, cet endroit qui fut foulé par Saphira et Eragon, lorsqu'il arrivait chez les vardens, coursé par ses orible créature que son les kulls...

- Arrête toi la Jupiter, je vais descendre, ça te ferras moins d'effort.

Il joigna le geste à la parole, arrétant l'équidé, qui soupira lorsqu'Elrohir descendit d'un bond léger.
Il attrapa les rènnes de l'animal et continua la route a pied, laissant Jupiter soufler, de ne plus avoir son poids sur son dos.

-Quand on rentrera, je te ferais un nettoyage complet, tu le mérite bien, après cette course folle !

Il éclata de rire, en repansant aux gardes de Galbatorix qui avaient tenté de l'attraper...
Mais un frisson lui parcourut l'échine, il avait croisé la route d'étrange créature qui l'avait poursuivit pendant trois longue journée...
Il avait perdu son sourire, s'arrêta à nouveau et regarda derrière lui...

-Je me fais des idées...

Jupiter dressa les oreilles, avant de tourner la tête derrière lui...
Rien, pas le moindre bruit, pas le moindre mouvement...
Elrohir soupira, et se remit en marche jusqu'a arriver à la cascade.
Avant de lancer le code, il s'approcha de l'eau laissant l'équider boire, et se mouiller le visage retirant la poussière qui c'était collé à lui...
Il fit mine de vouloir rester planter la, et s'assit.
SI quelqu'un l'observait, il prendrait maintenant l'initiative de l'attaquer, puisqu'il penserait qu'Elrohir campe la...
Mais rien...
Il soupira de soulagement, et fit le code.
Un léger grondement, la porte s'ouvrait.
Il pénétra dans la grotte, trainant Jupiter derrière lui.
Les gardes le stoppèrent...
Elrohir parrut surpris, mais bon, il était normal que les vardens se mettent en défense ces temps-ci.
Il laissa alors son sourire éternel revenir, et croisa les bras, attendant ainsi que quelqu'un vienne s'occuper de son arriver, que la personne, vienne, certainement scruter son esprit et vérifier si il est toujours des leur.